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Horloge à Vapeur I : l'Encaustique qu'on Clique
l'Encaustique qu'on clique.
Il faut courir sur les plaques rouillées pour ne pas se laisser attraper.
Il faut prendre garde à ne pas glisser,
Sur les flaques de larmes et les notes mortes.
Il faut éviter le grand miroir aux regards.
Et surtout, il faut tout le temps surveiller le cadran du percutant.
Et puis galoper sans se saloper le ciboulot.
On effeuille des carnets gonflés d'écrits pour retrouver le schéma global
On se perd en conjecture à en arpenter le seuil de rupture.
Un bout de crayon au coin des lèvres et un air un peu perdu,
On se laboure la crasse du front avec le tranchant du pouce.
Des ressorts se tendent sans raison.
Des soupapes restent hermétiquement soudées.
C'est clair, il manque une pièce à l'assemblage.
Tags : sans, vapeur, horloge, cadran, surveiller
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Commentaires
2La michante nelfeMardi 22 Septembre 2009 à 18:29Ah mais non!! J'aime bien moi!! J'veux la partie Tooou!! J'aime bien ce poème et la façon désarticulée que tu as de parler de... de quoi? De la réflexion? de la torture neuronale pour écrire? De l'effort qu'on doit fournir pour aligner deux idées cohérentes?
En tout cas, j'aime beaucoup ^^ La suite!! La suite!! La suite!! \o/3mapwSamedi 26 Septembre 2009 à 19:29bien sûr qu'on veut la suite , moi ce texte m'interpelle beaucoup , alors , la suite la suite la suite
4Sakutei
Samedi 26 Septembre 2009 à 22:44Comment ne pas s'incliner devant autant d'enthousiasme ^^.
D'accord, je vais mettre la suite :)
Mais c'est plutôt étrange...
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Je ne suis pas sûr que je posterai la partie deux...elle est plus particulière. Et surtout assez incompréhensible.
Encore un de ces foutus textes où la moitié de ce que je voudrais dire s'échappe comme autant de petites pièces dont j'ignore l'emplacement exact dans la machine.
Bon je les laisse de coté, on verra si le moteur tourne quand même.
A+